L'Abbaye en images
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© Bertrand Pichène
Ce bâtiment est construit au XV e siècle afin d'y loger les abbés commendataires (ecclésiastiques séculiers nommés à la tête des abbayes par privilège royal). À l'emplacement du parc public actuel s'ouvraient de magnifiques jardins à la française. Le logis est aujourd'hui un lieu de répétition pour les musiciens du Centre culturel de rencontre et le lieu des afters tous les samedis soir pendant le Festival.
Sur la façade édifiée au XIII e siècle figurent deux linteaux sculptés, représentant la Vie de la Vierge et la Résurrection des Morts .
De style gothique flamboyant, le cloître est édifié sous les ordres d'Etienne de Morel, abbé au XV e siècle dont les armes figurent sur quelques clés de voûtes. Lieu de prière, il permettait de desservir les différents espaces, notamment la salle du chapître. Cette salle est située entre deux arcades sur lesquelles demeurent les restes de peintures du XIV e siècle.
L'Aile Sud est réaménagée et agrandie par les bénédictins de Saint-Maur au XVII e siècle.
Cette tour fortifiée a été construite au XIV e siècle par les savoyards afin de protéger le site et ses dépendances des assauts du Dauphiné. Elle accueille aujourd'hui des salles de travail et de répétition.
Cette tour fortifiée a été construite au XIV e siècle par les savoyards afin de protéger le site et ses dépendances des assauts du Dauphiné. La Tour Dauphine a accueilli des récitals lors du Festival et sera prochainement restaurée.
Partie intégrante de l'espace défensif savoyard du XIV e siècle, cette bâtisse est réaménagée en infirmerie au XVII e siècle. Les mauristes y ont installé leur infirmerie pour sa proximité avec les jardins de plantes médicinales. Cette demeure, ainsi que ses jardins, seront prochainement restaurés.
Cette tour d'angle faisait partie intégrante de l'enceinte de l'Abbaye. Elle servit ensuite de pigeonnier.
Cette aile a vu le jour pendant les travaux effectués par les Mauristes (fin XVII e , début XVIII e siècle). Elle leur servit de bibliothèque. Pour la desservir, un escalier monumental a été construit à la même époque. II est dominé par un plafond peint en trompe-l'oeil.